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how come nobody's ever tried to be a superhero ?

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how come nobody's ever tried to be a superhero ?   Jdornan53bb
"Gaby" Raffaello Johnson
boss Ҩ the man who gives you dreams.
ϟ AVATAR : j.dornan ϟ COPYRIGHT : @everdeen ϟ DC : guewen jon aslvik-ström ϟ POSTS : 33

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MessageSujet: how come nobody's ever tried to be a superhero ? how come nobody's ever tried to be a superhero ?   EmptyDim 26 Aoû - 6:54


"gaby" raffaello johnson
« mourir par amour, quelle noble cause. »
✖ NOM: Jonhson. ✖ PRENOM: Gaby, Raffaello. ✖ EMPLOI: Difficile à expliquer. ✖ ORIGINES: italiennes. ✖ STATUT: célibataire. ✖ ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuel. ✖ GROUPE: i wanna love you. ✖ COPYRIGHT: tumblr.


quelques trucs à savoir.
je regrette cette enfance qui m'a été volé ◮ je m'enferme dans le mutisme lorsque je suis énervé ou contrarié ◮ je suis fou amoureux au point d'être mort pour elle ◮ je pars marcher tous les matins aux aurores, sans exceptions ◮ je suis allergique aux poils des animaux ◮ je déteste les personnes alcoolisées ◮ tic, manie, trucmachin à savoir sur toi ◮ tic, manie, trucmachin à savoir sur toi ◮ tic, manie, trucmachin à savoir sur toi ◮ tic, manie, trucmachin à savoir sur toi .
PSEUDO ▲ Bibiii. AGE 20 apéros. (a). AVATAR jamie dornan. how come nobody's ever tried to be a superhero ?   3735624991 DECOUVERT LE FORUM GRÂCE A mon talent! QU'EN PENSES TU sublime, quelle question. I love you PETIT MOT DE LA FIN? how come nobody's ever tried to be a superhero ?   1896979547 how come nobody's ever tried to be a superhero ?   3651832253

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[color=#e06c5b]jamie dornan ● "gaby" raffaello johnson[/color]




Dernière édition par "Gaby" Raffaello Johnson le Dim 26 Aoû - 9:01, édité 3 fois
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"Gaby" Raffaello Johnson
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ϟ AVATAR : j.dornan ϟ COPYRIGHT : @everdeen ϟ DC : guewen jon aslvik-ström ϟ POSTS : 33

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MessageSujet: Re: how come nobody's ever tried to be a superhero ? how come nobody's ever tried to be a superhero ?   EmptyDim 26 Aoû - 6:55


Mourir, te donner ma vie.
« l'amour, s'il tient en une seule fleur, est infini. »
Rien n'est simple dans cette chienne de vie. On te façonne, te programme au feutre indélébile, de sorte que jamais ces traces ne s'effacent. Que jamais tu ne sortes de ce foutoir dans lequel on t'a plongé dès ton arrivée. Satisfait ou non, t'appliques et tu courbes l'échine. Il faudrait en plus baisser les yeux et ronronner dès que l'on nous accorde la moindre petite faveur. Liberté, égalité, fraternité. La liberté est un paradoxe qui jamais n'a existé. On nous dit libre dès notre naissance, et ce jusqu'à notre dernier souffle. Mais vit-on, libre? Est-ce de notre propre liberté que de gravir tous les échelons de la vie? Etudes, diplômes, travail, mariage, enfants, et j'en passe. Avons-nous choisi toutes ces choses de ce qu'ils appellent le libre arbitre? Je ne pense pas. Je n'y vois que conformité aux règles d'usage et d'humanité du moment. Tout le monde fait ça, alors on se la joue à monsieur-tout-le-monde. Tout le monde entre dans ce train-train quotidien et morbide, alors tu te dois d'entrer dans la ronde. Egalité. Y a-t-il une quelconque égalité entre les hommes? Un homme noir a-t-il plus de chances de réussir qu'un homme blanc? L'exemple d'Obama est l'exception qui confirme la règle: il n'en a aucune. Depuis toujours l'homme s'est débarrassé des plus faibles, des différents afin de ne garder qu'une lignée pure. Héroïque, forte. L'égalité n'est qu'un mensonge de plus des plus hauts placés pour doucement faire passer l'esclavage comme un dû. Une chance, une opportunité que tous les peuples n'ont pas. Et qu'ils ont, au bout du compte. Fraternité. Jamais je n'ai vu, de mes yeux vu, autant d'égoïsme en ce monde. Le chacun pour soi domine et écrase toute forme de compassion, d'entre-aide. Si tu veux réussir dans la vie, ne comptes que sur toi, ne t'intéresses pas au cas de chacun. En somme, vis en ermite, et oublies ce que vivre veut dire. Oublies que si tu es ici, c'est que tu as été le héros parmi des millions, des milliards de futures esquisses humaines. Oublies que Dieu veille sur toi, que ta bonne étoile te suit partout, où que tu ailles. Oublies que tu es un enfant du monde, et que même cet handicapé, là-bas, a aussi été un héros. Oublies tes sentiments, libères ton orgueil. Allez, vas-y. Dans ton monde à toi, crever et vivre revient au même. Allez, vas.


Rien n'est facile non, mais notre corps, notre âme s'y conforme. Elle prend les traits du quotidien et souffre désormais en silence. Tout comme mon cœur hurle sans voix un amour qui jamais ne sera. Nos Destins étaient écrits, évidents, ils s'étalaient là, sous mes yeux d'enfants dès la première fois que j'ai croisé son regard. Ignorant et innocent, j'avais fermé les yeux, sans aucun espoir, n'y voyant là qu'une amitié probable. Peut-être avais-je espéré en secret que les choses changent, qu'elles prennent une tout autre tournure. Et les faits étaient là, consternant. J'étais fou d'elle. Fou du moindre sourire, rire, pleurs, espoirs et rêves qui la tenaient en haleine. Si se damner pour quelqu'un était possible, depuis le début j'aurai vendu mon âme au diable pour lui accorder un bonheur éternel. Arrêtes mon gars, tu te fais du mal pour rien. Lèves les yeux, reviens à la dure réalité. Cours de compta. Le désespoir me donna à la fois l'envie de rire et de pleureur. Putain de prof incompétent, ils l'ont sorti d'où? La sonnerie libératrice retentit subitement et me donna un nouvel éclat de jeunesse. Je fonçais vers la sortie comme un bolide, pressé et impatient de revoir mes deux amies. Les seules d'ailleurs, hors les autres qui vous regardent en papillonnant des yeux d'un air langoureux. Jordan, je la connaissais depuis toujours, entre nous c'était comme une évidence. Je n'avais nul besoin de parler, de demander ou d'espérer pour qu'elle comprenne la moindre de mes envies, la moindre de mes pensées. Mais il semblerait qu'il y ait une chose à laquelle elle ne puisse accéder: mes sentiments. J'avais beau y mettre la meilleure volonté, y donner toutes mes forces, la télépathie ne se faisait pas. Alors, de peur de gâcher la moindre petite étincelle présente entre nous, je gardais le silence, et l'espoir. L'espoir qu'un jour mon appel se fasse entendre, et que nous puissions commencer à écrire notre histoire. Il était une fois.
Des erreurs, tout le monde en a fait, en fait, ou en fera. Je n'étais rien qu'autre qu'un homme, avec ses forces et ses faiblesses. Bien que capable de résister à la plus jolie fille qu'il puisse exister sur cette terre, je ne pouvais rien face au désespoir que me causait le silence de Jordan. Aucune évolution, aucun signe de futur probable. Alors, las et désespéré, je répondais aux appels pressant et explicites de Julia. C'est à partir de ce moment là que mon monde s'écroula, que je commis la pire faute qu'un homme transis d'amour pouvait faire. Je perdis petit à petit la femme que j'aimais.

Une année qui s'achève, la promesse d'un avenir meilleur. Oubliées les incertitudes et les craintes, rien ne compte autant ce soir que notre jeunesse, et notre insouciance. Mettons de côté, rien que pour une soirée, ces obligations qui nous crèvent les reins et nous avalent notre liberté. Costard cravate oblige, robe de princesse mise à l’œuvre, nous étions digne d'une série américaine. Les lumières, les décors, rien n'était plus beau que l'instant présent, celui que nous vivions. Je ne pouvais que constater les visages rayonnants, l'euphorie générale due à l'anniversaire de ma belle. Mais je n'étais pas de la partie. Avide, anxieux, je la cherchais du regard. J'avais besoin plus que tout au monde de poser mes yeux sur elle, de sentir sa présence, sa chaleur. Hagard et assoiffé je la découvrais enfin, plus belle encore dans sa robe de satin. « Hey, Jordan, salut... » Je supportais son regard blessé et désintéressé avec douleur, pleinement conscient du cafouillage dont j'étais la cause. « Salut. Qu'est-ce que tu fais là ? T'es pas avec Julia ? » Ou comment se sentir stupide et mal à l'aise. Julia n'avait rien été d'autre qu'un échappatoire, une solution de facilité. Les mots étaient cruels, mais sincères. Ce que je n'avais pu obtenir en Jordan, je l'avais cherché -et trouvé- en notre amie. Quel imbécile... Je savais que j'aurai du porter ma virilité plus violemment et me secouer. Au lieu de ça, j'avais fuis. Lâchement. Nous brisant le cœur, à Jordan et moi. Nous volant quelques bouts d'histoire. Cela ne pouvait plus durer. « Pas vraiment, non. On s'est quitté en froid et... Bref. On est plus ensemble. » Je ne savais ce que je cherchais ainsi dans les yeux de ma belle. Soulagement ? Pardon ? Reconnaissance ? Je ne méritais rien de tout ceci. Absolument rien. [color=indianred]« Pourquoi ça ? Tu avais l'air heureux avec elle... » Tout en me mordillant la lèvre inférieure, je cherchais le chemin le plus délicat pour lui faire part de ce que me hurlait mon cœur. Dur. Croyez-moi. Un doigt doucement posé sous son menton, je lui relevais délicatement la tête, bouillant sous le poids de son regard. « Jordan... Je ne pouvais plus mentir. Ni à moi, ni à elle... Ni à toi. Il n'y a jamais eu de Julia, seulement toi. Je ne respirais que pour toi. Je ne vis que pour toi, tu m'entends ? Tu es et à toujours été la seule, et l'unique. Depuis le début. » Je ne contrôlais plus les battements effrénés de mon pauvre organe vital. « Toi aussi Gaby... J'ai cru que tu allais m'oublier, et m'effacer de ta vie... » Je sentis mes tripes se révoltaient face à une idée pareille, idée que je jugeais impossible, impensable, irréelle. « Une telle chose n'arrivera jamais, jamais. C'est... Impossible. Ne me demande jamais de faire une chose pareille. Je ne le pourrais pas. » J'étais ému. Et une toute autre foule de sentiments divers et variés. Une énorme dose d'adrénaline, un apaisement du corps et de l'esprit sans nom.

« Monsieur, c'est urgent. Trois agents du FBI demande à être reçus. » Je m'étais préparé à cet épisode depuis des mois. Je savais que ce jour viendrait, qu'à un moment je devrais essuyer seul les erreurs de mon père et de celui de Jordan. Je savais que je devrais en payer le prix à leur place. La vie est injuste. Se sacrifier pour les autres de d'autres. Cruel. Sur un signe de tête ma secrétaire s'empressa d'avertir les visiteurs que je les attendais. J'ajustais ma cravate, l'air grave et impassible comme à chaque fois que j'étais contrarié, énervé. Une manière à moi d'exprimer tous ces mauvais ressentis. « Bonjour, je suis M.Johnson, installez-vous je en prie. » J'observais avec appréhension ces trois hommes qui allaient bouleverser ma vie. Et celle de celle que j'aimais. « Agents Thomson, Vaskovitch et Warhols du FBI. Je serais bref, le temps nous est compté. » S'en suivit la discussion la plus farfelue qu'il m'est été donné d'entendre. Pour un peu je me serais cru dans une série américaine typique policière. Mais la réalité était bien différente. Je devais les aider à retrouver l'homme envers qui l'entreprise avait des dettes immenses. Faramineuses. Un sale type, je le savais, et j'aurai tout donné pour pouvoir les aider à coincer ce salopard. Je me devais de réfléchir vite et bien. Seul m'importait la sécurité et le bonheur de Jordan, sachant que je compromettais ce dernier si j'acceptais. L'amour vous fait faire de sacrées choses, quand on y pense... « J'accepte. Mais à une condition... » En l'espace de quelques minutes le tour était joué, le scénario monté de toutes pièces. Je devrais simuler ma propre mort afin d'épargner Jordan d'une quelconque vengeance et renaître de mes cendres sous un autre nom. Dans un autre état. Avec une autre histoire. Je devais refaire ma vie depuis le début. Et sans elle.

C'était un matin de décembre, aux alentours de sept heures. La ville était recouverte de neige, dehors tout semblait calme, comme endormi en cette heure matinale. Je m'agitais discrètement autour de notre sanctuaire sentimental, osant à peine faire le moindre geste de peur de réveiller ma belle. Mon coeur se serrait à l'idée de la quitter, une fois de plus. Mais cette fois-ci, cette angoisse était bien pire que ça. Envahissante, tortueuse. Je savais qu'aujourd'hui serait la dernière fois que je la verrais. Ces quelques minutes restantes étaient nos dernières avant le moment fatidique. Cet instant qui changerait nos vies à jamais. Ce moment où je mettrais un terme à ce bonheur que nous avions si longtemps attendu, espéré. Mais les choses étant ce qu'elles étaient, je n'avais pas le choix. Les obligations me serraient les tripes, m'étouffaient, tout comme cette douleur qui m'envahissait encore et encore. J'espère que tu me pardonneras un jour, Jordan... « C'est déjà l'heure ? » Mon coeur fit un raté, je sursautais presque. Je redoutais qu'elle se réveille trop tôt. Car plus de temps je passerais à lui faire mes adieux, plus mon âme se déchirerait en lambeaux. Du moins les pauvres restes qu'il en restait. Je la rejoignais, cachant difficilement l'émotion qui me saisissait. Bien d'autres auraient réagi comme toi. C'est pour son bien, je suis sûr qu'elle te le pardonnera. Elle est intelligente. Elle comprendra. C'était bien ce que je craignais: jamais elle ne me pardonnerait cette embuscade. Même avec les meilleurs arguments possibles et inimaginables. « Déjà debout petit coeur? Mon avion ne décolle que vers onze heures ne t'en fais pas. Je ne serai jamais parti sans rien dire tu le sais ça ? » Sa mine triste, décomposée eue raison de ma faiblesse d'homme amoureux. « Je sais oui... Reste avec moi... S'il te plait... C'est trop dur sans toi Gab'. » Un peu plus et je me sentais de taille à tout abandonner. J'aurais été prêt à tout affronter, rien que pour avoir le bonheur de demeurer à ses côtés. Mais la raison l'emportant sur les sentiments, je me secouais. C'est pas le moment de faiblir. « Je peux pas.. C'est dur pour moi aussi, vraiment dur. Je reviens vite petit ange ok? » J'essayais de me faire rassurant, calme et confiant, comme si ce voyage n'était qu'un voyage de plus parmi tant d'autres. « Ok. Je t'aime plus que tout mon amour, ne l'oublie jamais promis ? » Mon père m'avait toujours appris à ne jamais dévoiler ses émotions, jamais ne montrer ses faiblesses. Si mes yeux ne pleuraient pas, mon coeur le faisait à la place. « Promis. » Et sur un dernier baiser dont la saveur hante encore mes nuits, je la quittais. Pour toujours.

Le vent glacial me cinglait le visage par bourrasques tandis que j'attendais mon interlocuteur sur les pas de l'aéroport, pas loin. Onze heures étaient bien loin derrière moi à présent, et je savais que mon préposé vol venait d'être réduit en cendres, évaporé dans la puissance, dans l'immensité du ciel. Déjà j'entendais mille et mille sirènes de police, ambulance et autres voitures de sécurité en tout genre. Des taxis remplis de journalistes avides se ruaient vers l'aéroport comme des carnivores affamés, jouissant d'une future une palpitante. J'avais le coeur au fond des talons. Pire même, j'ai la désagréable sensation de ne plus en avoir du tout. J'étais déjà en manque de celle dont j'aimais tout, l'odeur, la présence, la chaleur, l'humeur. Un homme petit, trapu se dirigea vers moi, un visage bienveillant dissimulé sous son chapeau melon. Sacré cliché. « M.Johnson, suivez moi je vous prie, c'est avec moi que votre nouvelle vie commence! » Je l'aurai étranglé si je l'avais pu. Comment pouvait-il prendre toute cette histoire à la légère, ne pas s'en soucier un tantinet soit peu? J'avais la haine qui, comblée au désespoir, me faisait fulminer. Tout ça à cause des dettes. Et d'un même et un seul homme. J'aurai ta peau, je l'aurai.

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